Green, glam & happy, le livre de 180 nouvelles recettes bonheur

La nourriture, le yoga et le bonheur !

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Publiée aux éditions Marabout,  Rebecca Leffler est particulièrement forte en ce qui concerne la nourriture mais aussi sur le yoga. D’une part, la nourriture est ce qu’on met dans notre estomac et ce qu’on digère et le yoga c’est notre façon de nous tenir. Il est bon les connaitre et les pratiquer tous les jours.

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Rebecca Leffler montre dans son livre qu’il n’est pas nécessaire d’être végétalien pour le lire (bien que c’est mieux pour nous !!!) ou bien de manger des beef steak et des frittes ou des pizzas toute la journée mais nous arranger pour qu’avec nos plats de prédilection on peut manger une des salades trop bonnes que l’on trouve dans son bouquin ou des smoothies qui nous font tomber de plaisir.

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Mais le livre est purement végétalien !

BIO ou pas BIO, Rebecca Leffler nous conseil de ne pas se limiter sur l’étiquette car « il n’y a pas de règle stricte. suivez plutôt votre instinct, renseignez-vous auprès de vos maraîchers (ou mieux, si c’est possible, plantez les légumes vous même!) » et surtout ne pas stressé !

Alors, allez-y, achetez le livre « Green, glam & happy », il ne coûte que 16,90€ et ce sera bien pour tout le monde, les végétaliens, végétariens, omnivores…

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La spiruline : comment la choisir ?

La Spiruline, une algue verte vantée à juste titre pour ses bienfaits sur la santé. Elle vit sur des lacs d’eau douce plutôt alcaline. Elle se présente comme un grain de poudre qui seul ne se voit pas, au microscope on voit une petite spirale. A l’oeil nu, déshydratée et en quantité, elle a une forme de poudre verte.

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La spiruline existe sous trois formes :

  • En comprimés
  • En brindilles
  • En poudre


En comprimés, c’est de la spiruline comprimée, d’une elle coute plus chère car, comme on peut l’imaginer, il y a un travail en plus, la compression. Après, elle est moins bénéfique car c’est à l’estomac de la dissoudre alors que mélangée à de l’eau, des jus, des yaourts, des laits, des smoothies etc… elle est directement assimilable.

Pour les brindilles, paillettes etc…, il faut la presser et la sécher à chaud, les meilleures sont celles séchées à basse température afin qu’elles aient le plus de vitamines possibles ! La spiruline de France a l’avantage d’être un produit local mais malheureusement elle n’a pas assez de soleil pour être présente toute l’année, elle pousse sous serre et est sechée à chaud car nous n’avons pas encore aujourd’hui de grande salle à air froid. Comme la vanille et toutes nos épices, nos bananes et notre lait de coco est importé on peut encore consommer le meilleure même si il vient d’ailleurs. Cependant, je suis d’accord que la spiruline en paillettes est sympathique à croquer !

La poudre est celle que je trouve le plus pratique et le plus intéressante pour cuisiner. Je ne vois aucun intérêt par exemple à avaler des gélules. Au quotidien, je dilue le matin 1 cuillère à café dans un grand verre d’eau ou un jus de fruits ou de légumes. Attention, il faut verser la poudre dans le verre, puis ajouter l’eau. Dans l’autre sens cela ne fonctionne pas, vous aurez un énorme « grumeau » flottant en haut du verre. Dans les smoothie, sur les pâtes ou le riz, dans les pâtes à tartiné bref on peut y trouver des recettes par millier (La spiruline, saveurs et vertus de Belda Sisso). Je préfère la poudre (Contrairement à ce que j’ai pu lire ou entendre, la spiruline en poudre n’est pas broyée, c’est sa forme originelle séchée à froid) qui pousse sous un soleil intense et non sous serre (la spiruline a besoin, comme les tomates, de soleil pour nous apporter toutes ses vitamines !).

Avec ces quelques avis, j’espère que cela vous aidera à choisir votre spiruline !

Green, glam et gourmande, le livre culte de Rebecca Leffler

La Health food revolution !

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Dès que j’ai entendu parler de la sortie de ce livre de cuisine et de mode de vie je me suis empressée d’aller l’acheter ! Pleins de recettes végétaliennes saines, équilibrées et de saison, alliant différents petits produits magiques pouvant venir du monde entier (tahin, miso, baies de goji, spiruline…), des postures de yoga pour se levée du bon pied et différentes à chaque saison, bourré de conseils ce livre nous accompagne vers une vie à la Hippocrate: « Que ta nourriture soit ta médecine, et la médecine ta nourriture », « d’accord, mais à condition que ce soit bon et beau » comme dirait Rebecca Leffler !

Mais c’est en voyant son placard que j’ai compris que c’était ma soeur spirituelle :

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Les tisanes Lov organic que j’adore, la spiruline de Maison de la spiruline, de loin la meilleur ! Le tahin de chez Perl’Amande encore une fois je prend exactement la même !!! Et encore pareil pour son miso, de chez Lima, bien entendu ! Du chanvre, de l’azuki, des pois chiche, de la vanille, du quinoa, des graines de courge, des noix, du brésil, de cajou, de macadamia… Mais c’est mon placard !

Des recettes ultra gourmandes, colorées comme je les aime allant de la cuisine macrobiotique, à la cuisine raw (crue) en passant par la cuisine française, japonaise ou même du fast food à l’américaine, remanié à la végétalienne évidemment !

Comme moi Rebecca a les mêmes ennemis : Produits laitier, à base de gluten (j’essaye de m’en préserver au maximum), café, alcool, sucre blanc, viandes, oeuf, poisson…

Vous trouverez son livre facilement je l’ai trouvé à la Fnac.

La vérité de l’élevage intensif sur notre environnement

Pourquoi j’ai décidé, du jour au lendemain, de devenir végétalienne alors que la pizza au fromage fondu, une habitude d’enfance, qui nous fait encore saliver, que l’on imagine pas ne pas avoir un steak saignant dans son assiette ? Parce que l’élevage intensif et la pêche ont aujourd’hui des conséquences dramatiques sur les hommes, les animaux et l’environnement… Pour cet article j’ai choisi de me pencher sur conséquences environnementales de l’élevage intensif.

icône viande.info représentant la faim dans le monde

1°/ L’élevage premier responsable des GES (gaz à effet de serre)

En 2006, un rapport de la FAO indiquait que l’élevage était responsable de 18% des émissions annuelles des gaz à effet de serre dans le monde.

L’élevage génère 9% du CO2 (déforestation pour l’extension des pâturages et des terres arables pour la culture fourragère, carburant, chauffage des bâtiments d’élevage…), 37% du méthane (fermentation entérique iedigestion des ruminants et fermentation des déjections animales) et 65% de l’oxyde d’azote (épandage d’engrais azotés).

2°/ L’élevage ne se fait pas en forêt

L’élevage extensif et le soja exporté comme aliment du bétail sont la première cause de la déforestation Après une enquête de 3 ans publiée en juin 2009, Greenpeace affirme que l’élevage bovin est responsable à 80% de la destruction de la forêt amazonienne.

Avec une superficie de six millions de kilomètres carrés, la forêt amazonienne est la plus grande zone de forêt primaire tropicale de la planète. Durant les quarante dernières années, 800 000 km2de forêt amazonienne ont été détruits. Actuellement, ce chiffre est de 14 000 km2 par an et s’accélère à cause de l’augmentation de la production de viande qui oblige à gagner du terrain sur la forêt pour faire plus d’élevage.

L’Union européenne, dont la superficie des forêts augmente, est le 4e importateur de bovins derrière les USA, la Russie, et le Japon. En outre, 80% des importations de bovins de l’UE viennent d’Amérique du Sud. La France est le premier consommateur européen de viande bovine. Ainsi la consommation de viande en Europe et en France est une cause de la déforestation en Amérique du Sud.

Cette déforestation, en pleine accélération, cause 20% des émissions mondiales de GES(combustion massive de matière organique), perturbe le cycle de l’eau (la végétation et l’humus stockent et diffusent l’humidité) et réduit la biodiversité par la destruction de l’habitat de millions d’espèces végétales et animales. En outre, le compactage des sols, piétinés par le bétail, empêche les infiltrations d’eau et provoque des ruissellements qui érodent les sols et privent d’eau les derniers végétaux, rendant les terres inutilisables.

3°/ Les pâturages et les puits de carbone en France

Si les zones de pâturage constituent des puits de carbone, la reforestation également, et de manière plus efficace. Le bilan de gaz à effet de serre des prairies correspond à un puits modéré d’environ 1 tonne de carbone par hectare et par an ; par ailleurs, les prairies les plus exploitées par la fauche et le pâturage présentent la plus faible activité de puits de gaz à effet de serre. D’un autre côté, une jeune forêt tempérée (hêtraie) se comporte globalement comme un puits de carbone d’environ 4 tonnes par hectare et par an.

4°/ Lutter contre le réchauffement par son alimentation

En octobre 2009, l’ancien vice-président de la banque mondiale, Lord Stern, auteur du rapport Stern sur l’économie du changement climatique publié en octobre 2006, déclarait au Times que « La viande crée beaucoup de GES. Le régime végétarien est meilleur [pour la planète] ». Le président du GIEC, Rajendra Pachauri, recommandait déjà en 2007 de réduire sa consommation de viande pour faire diminuer les émissions de GES. Manger plus de végétaux et moins de viande est aussi un des conseils délivrés par La Commission Européenne pour lutter contre le réchauffement climatique. Le rapport de Foodwatch propose une illustration de l’effet sur le climat de 3 types de régimes alimentaires. Une alimentation sans produits animaux émet de 7 à 15 fois moins de GES qu’une alimentation qui contient de la viande et des produits laitiers.

Schéma montrant l'effet de serre selon l'alimentation
Merci à viande.info pour ces infos !!!

La spiruline, c’est quoi ?

La spiruline, de plus en plus à la mode en ce moment, j’ai décidé d’aller fouiller pourquoi…

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La spiruline est un aliment ou même un super aliment qui pousserait dans des lacs d’eau douce avec un soleil intense et sans conséquences néfastes sur la pollution, même en grande quantité. Cette algue bleue-verte microscopique contiendrait exactement tout ce dont le corps a besoin pour être en bonne santé. En fait, on ne pourrait manger que ça sans avoir aucune carence ! C’est pour cela qu’on en parle beaucoup pour venir en aide à la malnutrition car des études montrent que s’il fallait choisir un seul aliment pour nous nourrir ce serai la spiruline qu’il faudrait choisir. Pourquoi ?

– C’est déjà la source la plus riche en protéine (d’où l’aliment préféré des sportifs !). Elle contient tout simplement 60 à 70% de protéines soit, une demi cuillère à café  de spiruline serait l’équivalent d’un steak en protéine. Sauf que le steak lui est beaucoup plus riche en calories et ses protéines sont très difficilement assimilables contrairement à notre spiruline dont les protéines sont directement assimilables par les cellules. Alors qu’est ce qu’on choisi ?

Mais attendez, ce n’est pas tout !

– C’est aussi la source la plus riche en vitamine A (1/2 cuillère à café = 1 kilo de carottes en vitamine A). La vitamine A  contient : du rétinal  qui a un rôle essentielle dans la vision ; de la béta carotène un antioxydant  qui agit au niveau de la peau où elle a un effet protecteur contre les agressions des rayon UV et donne un teint hâlé et lumineux toute l’année à raison d’une cuillère à café par jour.

– Et c’est aussi la source la plus riche en fer. La principale conséquence d’une carence en fer est en fait l’Anémie. Les symptômes de l’anémie sont :
La peau devient sèche et pâle. Les cheveux et les ongles deviennent fragiles et cassants. (On peut aussi noter une déformation au niveau des ongles). Un bon apport en fer apporte une plus belle peau, plus beaux ongles et cheveux, reflets de la santé générale de notre corps.  Le manque de fer apporte aussi des dépressions et de la fatigue.

– La spiruline possède aussi une teneur remarquable en vitamines, en particulier du groupe B. C’est la deuxième source de vitamine B1, derrière la levure de bière. Elle contient de la vitamine B6. La spiruline contient 4 fois plus de vitamine B12  que le foie de boeuf, pourtant longtemps donné comme sa meilleure source. Ces trois vitamines jouent un rôle essentiel tant pour la préparation physique que pour la récupération à l’effort. La vitamine B12 n’est pas synthétisée par l’Homme et doit donc être apportée par l’alimentation. Il est dit « qu’elle est essentiellement présente dans la viande, le foie et les crustacés. Généralement absente dans les plantes, les végétariens doivent trouver une source assimilable de vitamine B12 pour éviter les carences ou les situations de subcarences ». Je pense que la spiruline encore une fois nous est très utiles !

Vous voulez d’autres raisons d’en consommer ?

– Alors je vais vous parler de sa teneur en vitamine E. Les 2 principales sources de vitamine E sont : le Germe de blé (17,4mg/100g) et la spiruline (10mg/100g) . La vitamine E 
est un très bon antioxydant, elle protège des maladies cardio-vasculaires et même de certains cancers.

– Sans oublier de vous parlez du calcium que contient notre chère spiruline. Indispensable au corps humain, le calcium est le minéral constituant nos dents et nos os. Le calcium est un des minéraux les plus important et aussi celui que l’on trouve en plus grande quantité dans l’organisme. Ses actions sont dépendantes de la vitamine D, du phosphore et du magnésium que l’on trouve aussi dans la spiruline !!! La spiruline contient énormément de calcium : 70 mg /10 g qui entretien les os et les dents, participe au bon fonctionnement du système nerveux. Régularise le rythme cardiaque. 
Aide à l’assimilation de la vitamine B12 et participe au métabolisme de certaines vitamines. 
Aide à métaboliser le fer. 
Nécessaire à la structure des cellules. Joue un rôle dans la libération de certains neuro- transmetteurs. Réduit les problèmes menstruels.

– Soixante-dix pour cent des Français et des Américains ne reçoivent pas les apports nutritionnels minimum quotidien. Une carence en magnésium est source de nombreux symptômes allant des troubles de l’audition à l’arythmie. Il est aussi responsable de plus de 150 actions et implications à plusieurs niveaux dans l’organisme. Le magnésium est présent en grande quantité dans la spiruline : 40 mg/10g.
Le magnésium 
aide à prévenir le diabète, maintient et améliore l’équilibre psychique et émotionnel, 
aide à réduire le stress, anxiété, panique, nervosité et permet la production d’énergie Participe à l’activité hormonale.

– La spiruline a l’un des taux les plus élevés en chlorophylle que l’on puisse trouver dans la nature (env. 1%). La chlorophylle est connue pour son pouvoir nettoyant et purifiant. Ses propriétés aident à détoxifier notre organisme des agressions liées à la pollution.

Et ce n’est pas fini ! mais là je m’arrête vous trouverez plus d’info dans le livre : La spiruline, saveur & vertus de Belda Sisso édité aux éditions Grancher qui explique quelle est cette algue, son histoire, ses bienfaits et qui donne de nombreuses recettes pour l’utiliser de façon gastronomique.

Donc, en cas de malbouffe, de régime (avec des aliments proscrits), de malnutrition, pour les sportif, les anémiques ou tout simplement pour ceux qui se souci de leur santé une cuillère de spiruline et plus besoin d’aucun complément alimentaire, cet aliment fait l’affaire.

Le foie gras: une cruauté monstrueuse pour 5 minutes de plaisir

Une fois de plus, je pique un article du blog de Natalie, L’assiette végétarienne, un blog à visiter souvent, dès que vous avez un moment, pas forcément pour devenir végétarien mais pour savoir ce que vous avez dans vos assiettes et les produits dits « de luxe » servies pour les grandes fêtes…

Foie Gras Stop Gavage 2

Source : http://www.stopgavage.com/

La vérité sur le gavage

La production de foie gras implique la naissance de 82 millions de canetons par an et 700 000 oisons. Par définition du foie gras, le gavage est obligatoire (art. L. 654-27-1 du code rural).

Les canetons ou oisons naissent dans un couvoir : les œufs sont placés sur des chariots dans de grandes armoires à incubation.

Chez les canards, seuls les mâles sont gavés, l’utilisation des femelles est interdite. Le foie des femelles est trop nervé. Les oisillons sont donc triés par sexe dès leur sortie de l’œuf. Il existe deux techniques pour le faire, soit par autosexage (pour certaines souches, la sélection génétique permet de différencier mâles et femelles par une tâche noire sur la tête des animaux), soit par retournement du cloaque.

Les femelles mulardes sont généralement éliminées (par broyage) après leur naissance.

À un jour, les canetons sont transportés dans un élevage qui les mènera jusqu’à la phase de gavage à l’âge de 80 jours environ.

Le gavage consiste à administrer de force à l’aide d’un tuyau enfoncé de la gorge à l’estomac de l’animal des aliments en grande quantité, très énergétiques et déséquilibrés. Cette opération prend 45 à 60 secondes avec la méthode artisanale. Elle ne prend que 2 à 3 secondes avec la méthode industrielles (largement prédominante) de gavage à la pompe hydraulique ou pneumatique. Les oiseaux sont gavés deux fois par jour.

En France, 75% des canards sont enfermés dans des cages de batterie où ils ne peuvent ni se lever, ni se retourner, ni étendre leurs ailes.

La recommandation de 1999 interdit l’usage des cages individuelles (la France n’applique pas cette recommandation…). Comme alternative à la cage individuelle, il existe la cage collective mais elle n’est pas conforme aux termes de la recommandation.

D’autres sont enfermés dans des parcs, utilisés pour les oies également.

Suite au choc du gavage, l’animal est pris de diarrhées et de halètements.

Le fonctionnement du foie est perturbé, l’animal a du mal à réguler la température de son corps, il développe une maladie appelée stéatose hépatique. En outre, les dimensions de son foie hypertrophié qui atteindra presque 10 fois son volume normal, rendent sa respiration difficile, et ses déplacements pénibles. Les sacs pulmonaires sont compressés, le centre de gravité de l’animal est déplacé.

En période de gavage, les canards sont enfermés sur des sols durs (grillage, caillebotis…), ils développent des infections aux pattes appelées dermatites.

Outre la longue liste des maladies, troubles et le malaise général des animaux gavés et encagés, les statistiques de mortalité trahissent l’état de santé des animaux suralimentés.
Le rapport de 1998 du Comité Scientifique vétérinaire mandaté par la commission européenne mentionne même des taux de 10 à 20 fois plus élevés en gavage qu’en élevage.

Au bout d’une douzaine de jours de gavage, les oiseaux sont alors emmenés à l’abattoir dans des caisses où ils sont entassés.

Ils sont étourdis par électronarcose puis saignés. Il arrive fréquemment que les oiseaux se réveillent avant ou en cours de saignée.

Ils sont ensuite plumés, éventrés, vidés, leur foie est prélevé est conditionné pour être consommable.

Pour voir ce qu’endurent vraiment les oiseaux, vous pouvez également regarder ces films datant de 2004 ou ces images de 2008 dans des salles de gavage en France.

Voici aussi quelques pages où vous trouverez d’autres éléments sur la réalité de la production de foie gras. Le contraste avec le discours de la profession y est saisissant : on y parle des animaux et de ce qu’ils subissent

Foie Gras c'est pas bio

Foie Gras Stop Gavage

Foie Gras Affiche

Faux Gras® de GAIA, l’alternative qui respecte les gourmets et les animaux : article.

La vérité sur le lait

Voici un article que je vous conseille de lire, je l’ai pris du blog de Natalie « L’assiette végétarienne »un des blog que je consulte le plus, notamment pour tous ses articles qui nous font ouvrir les yeux sur pas mal de choses, notamment sur la fabrication des produits laitiers… je vous laisse découvrir cet article par vous même :

La vérité sur le lait
5 novembre 2012 · by Natalie
Sources : http://www.one-voice.fr

Le lait semble être un aliment bien innocent. Pourtant, c’est un véritable lobby industriel qui nous pousse à en consommer toujours plus, pour le plus grand malheur des vaches et de leurs veaux et au détriment de notre santé.

1°/ Le lait historique
Ça n’est qu’avec l’avènement de l’élevage et de la domestication que les humains ont pu profiter de la production de lait des autres mammifères. Produit par les femelles, le lait permet de nourrir leur progéniture jusqu’au sevrage, c’est-à-dire jusqu’à ce qu’elle soit capable de trouver elle-même sa nourriture et de la digérer. Composé d’eau, de glucides, de lipides, de protides et de sels minéraux, c’est un aliment complet dont la composition varie en fonction de l’espèce à laquelle il est destiné, et aussi au cours de sa production. C’est le lait des vaches qui a vraisemblablement été le premier à être consommé, et c’est toujours lui qui l’est principalement aujourd’hui.

2°/ Le sort des veaux
Pour qu’elles produisent suffisamment de lait, les vaches « laitières » doivent mettre bas d’un veau tous les ans, dès l’âge de deux ans. Elles sont en général inséminées artificiellement trois mois après avoir vêlé. Les veaux leur sont retirés quelques jours après la naissance. C’est un stress énorme autant pour la mère que pour son petit car leurs liens sont extrêmement ténus. Les veaux ne pourront pas se développer correctement loin de leur mère, ni du point physique, ni point de vue comportemental. Leur avenir industriel est de toute façon tout tracé : future vache laitière ou élevé en batterie pour sa viande, la courte existence du veau ne sera que souffrances, stress et privations. Les veaux vendus pour l’abattage ont un prix pouvant avoisiner les 10 €, et sont donc difficilement l’objet d’attentions… La France est le premier producteur de viande de veau en Europe, avec 232,1 milliers de tec (tonnes équivalent carcasse) en 2008. Environ 20% des veaux nés en France sont des « veaux de boucherie ».

3°/ Les vaches laitières en France
En 2008, d’après la FAO, ce sont 3 880 000 vaches qui ont produit 24 516 320 tonnes de lait en France. Cela correspond à plus de 6 300 kg par animal ! Pour parvenir à une telle production, rien de naturel. Depuis 50 ans, les vaches souvent de race Holstein, mais aussi normandes ou montbéliardes, ont été sélectionnées pour une production laitière toujours plus importante. Des 4 litres par jour nécessaires à l’élevage d’un veau, certaines vaches sont ainsi passées à près de 30 litres ! A l’origine de cette hyperproduction dont les ingénieurs de l’INRA sont si fiers, un facteur de croissance qui fait aussi que les vaches sont bien plus grosses qu’il y a 50 ans. La sélection génétique in vivo dans toute sa splendeur…

4°/ La santé des vaches en péril
Les vaches ainsi sélectionnées sont trop lourdes pour leur squelette, ce qui entraîne boiteries et autres troubles fonctionnels. En outre, leur pis débordant de lait plus qu’il n’en peut contenir, est trop lourd et trop volumineux, ce qui provoque un écartement des membres postérieurs et des lésions au niveau des pieds. Les mastites et les problèmes de vêlage sont également courants…

5°/ Les conditions d’élevage
Mais le calvaire des vaches laitières ne s’arrête pas à vêler et produire toujours plus de lait. Leur quotidien est particulièrement difficile. Les vaches en pâturage et en coures paillées sont peu nombreuses. Leur élevage se fait plus souvent en stabulation à logettes (les animaux sont séparés les uns des autres par des parois) ou pire, en stabulations entravée : les vaches n’ont alors aucune possibilité de se mouvoir… Elles accumulent les problèmes de santé et souffrent de mammites à répétition. Rien n’est fait pour leur bien-être, seule leur production est importante.

6°/ Pas de retraite paisible
Comme seule l’hyper-productivité est intéressante, et qu’elle est limitée dans le temps, les vaches « laitières » sont en général « recyclées » après 3 ans… et abattue pour leur « viande de bœuf », bien qu’elle soit de moindre qualité. Du steak haché à l’alimentation animale, l’industrie du lait est étroitement liée à l’industrie de la viande. Les intérêts économiques y obligent…

7°/ Le lait dangereux pour la santé ?
Le lait ne fait pourtant pas l’unanimité des scientifiques. Les recommandations de 3 à 4 laitages quotidiens pourraient même être criminelles à en croire certains… Outre les différentes intolérances au lactose et autres diabètes précoces identifiés chez les jeunes enfants consommateurs de lait industriel (mais l’allaitement maternel n’est pas toujours aussi simple qu’il y parait) le lait consommé en grande quantité serait source de problèmes de santé. Dans tous les cas, les arguments incitant à sa consommation sous des prétextes sanitaires seraient hautement fallacieux. 75% des humains ne digèrent pas le lait. En trop grande quantité, il abaisse notre niveau de vitamine D. Quant au calcium, l’eau, les légumes, les amandes en contiennent suffisamment… Si à cela on ajoute les dérives dans la qualité du lait liées à la sélection génétique et à l’IGF-1 semblable au facteur de croissance humain et qui aime induire la multiplication irraisonnée des cellules, on comprend que le lait pourrait rapidement devenir cancérigène… si ce n’est déjà le cas*.

* Larsson, S. (2004) : Milk and lactose intakes and ovarian cancer risk in the Swedish Mammography Cohort. American Journal of Clinical Nutrition, Vol. 80, No. 5, 1353-1357

« La vache laitière est l’exemple suprême de la mère surmenée. De tous nos animaux d’élevage, c’est celui qui travaille le plus dur et il est possible de calculer cela scientifiquement. C’est l’équivalent d’un coureur qui courrait six à huit heures par jour, ce qu’on pourrait appeler une course folle.«
John Webster, professeur à l’École vétérinaire de l’Université de Bristol

Etre végétalien au moins 1 fois par semaine ?

Article sorti du blog L’assiette végétarienne.

C’est possible et ça existe déjà !

À quoi ça sert ?

  • A préserver l’environnement

Plus on « végétalise » son alimentation et plus on diminue son empreinte écologique – pollution, déforestation, pillage des océans, effet de serre, gaspillage de ressources – et ceci de façon beaucoup plus efficace que par les autres gestes quotidiens que l’on peut faire.

Saviez-vous qu’un jour végétarien par semaine représente 5 millions de véhicules en moins sur les routes ? C’est ici, dans notre étude.

  • A préserver la santé

Manger sain et végétalien signifie moins de graisses animales et de cholestérol et plus de fibres, de vitamines, de minéraux. Une consommation trop importante de viande augmente les chances de développer des maladies cardiovasculaires, certains cancers, l’obésité et le diabète de type II.

  • A partager avec les plus démunis

L’élevage détourne et gaspille énormément de ressources au détriment de l’alimentation humaine, alors que près d’un milliard de personnes souffrent de la faim.

  • A épargner des animaux

Un jour végétalien par semaine épargne la vie de millions d’animaux et permet de faire reculer la pêche et l’élevage industriels, sources de grandes souffrances pour les animaux qui en sont victimes.

A vous de jouer !

Nous vous invitons à mettre en place une journée végétalienne par semaine

Être végétarien. La bible !

Être végétarien. Pourquoi ? Comment ? De Belda Sisso édité aux éditions clair de Terre en 2007 m’accompagne tout au long de l’année dans la réalisation de mes recettes.

Ce livre m’a d’abord fait prendre conscience de l’importance de l’alimentation sur notre santé, sur celle de la planète, sur l’économie et l’écologie.

Être végétarien. Pourquoi ? Comment ? Contrairement à son titre n’est pas exclusivement destiné aux végétariens mais à tout ceux qui s’intéressent un temps soit peu à ce qu’il y a dans leurs assiettes. Ce livre donne plein de conseils de santé, allant du choix des aliments, à leur variété, leur préparation, leur cuisson, leur conservation, aux nutriments et vitamines nécessaires à l’organisme.

Mon blog est d’une certaine manière le « comment ? » de ce livre.  Des recettes avec des légumes de saison, des légumineuses, des oléagineux, des céréales, quelques super aliments (spirulines, graines germées), de bonnes méthodes de cuisson et encore plein de choses, comme où trouver tout ce dont le corps à besoin pour ne pas avoir de carences (même pour les carnivores).

Aujourd’hui de plus en plus de médecins considèrent l’alimentation comme une chose essentielle dans la prévention des maladies et le maintien d’une bonne santé. Mon ami, médecin, gastroentérologue et chercheur en immunologie, dit qu’une alimentation diversifiée est importante pour stimuler la diversité de notre microbiote (la flore microbienne présente dans notre intestin). De nombreuses maladies sont associées à des altérations dans la composition de ce microbiote. Il dit souvent à ses patients de prendre soin de ce qu’ils mangent, de manger varié. Je retrouve dans ce qu’il dit les conseils donnés dans ce livre.

Ce livre, comme d’autre que je vous proposerai, montre qu’il est crucial aujourd’hui de choisir en toute connaissance ce que l’on donne à notre corps.

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